La conférence du 31 mars avec Anthony Joseph est annulée
Être au monde. Comment se fait-on à l’idée d’être ici-bas, soumis aux aléas d’une existence plus surprenante que nous ? Être au monde, flanqué d’une altérité avec laquelle on doit composer, pour le meilleur et pour le pire. C’est ce que raconte le septième album de Bertrand Belin. Antidote idéal à nos angoisses, nos solitudes, mixture hybride de pop francophone incitant à l’ivresse des sens et des luttes.
Tambour Vision est tout en contrastes, aussi bien sonores que sémantiques. Les boîtes à rythmes saisissent, la guitare se fait plus discrète tandis qu’un Mellotron, avec son souffle et ses défauts, se distingue parmi les autres claviers. La pulsation remplit tout. Comme un groove insidieux qui « va directement aux muscles », qui va prendre toute son ampleur sur scène. Tambour Vision appelle à la danse. Bal auquel nous nous joignons avec l’espoir de jours meilleurs et de joies non contaminées. Être au monde, seuls mais ensemble, pour imaginer notre propre fable. Celle de Tambour Vision.
Voix, guitares : Bertrand Belin
Percussions, claviers, chœurs : Lara Oyedepo
Claviers, basses, chœurs : Thibault Frisoni
Claviers : Jean-Baptiste Julien
Guitares : Julien King Omé
Batterie, Machines : Sylvain Joasson